Monika Meschke

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Biografi / Biographie

Monika Meschke, föds i Stettin (Szczezin) 1937 och emigrerar 1939 med sin familj till Sverige, Viggbyholm i närheten av Stockholm, Tidigt intresserad av dans, pantomim och teater samarbetar Monika med brodern Michael på Marionetteatern i Stockholm och gör flera turnéer bl.a. till Indien, Japan och Island. 

 

Sedan 1956 gift med den schweiziske scenografen Ruodi Barth. Tillsammans arbetar de på olika tyska scener. Flera resor till Japan, resulterar i en egen produktion   av kvinnofigurer i mänsklig storlek, skurna ur frigolit och behandlade med olika plastmaterial. « utställnings-föreställning » KVINNOR, och ett teaterexperiment där två aktriser blandar sig med 20 kvinnofigurer, visades i Stockholm, Marseille, Avignon och Charleville. 

 

MONIKA MESCHKE, née Allemande, à Stettin (Szczecin) en 1937.
Devenue suédoise après l’exil de sa famille en 1939 et Suisse en 1956 par son mariage avec le scénographe Ruodi Barth (1921-1999), vit en Provence depuis trente ans. 

 

Attirée par la danse et le spectacle, elle travaille très tôt avec son frère Michael Meschke metteur en scène et créateur de théâtre, et voyage ainsi en Europe, en Asie, au Japon... De cette expérience elle retient le respect des matériaux et des techniques, et son intérêt pour la représentation du mouvement. Début de sa production personnelle en 1981. 

 Elle aime situer ses femmes dans des lieux publics : lavoirs, halls de gare, églises, cantines, cloîtres, hôpitaux ...et expose en galeries,en France, Suède, Suisse, Allemagne, Espagne, Pays Bas ... 

Au Japon elle découvre l’intérêt pour les matériaux légers. Ses femmes, taille humaine, taillées dans le polystyrène, couvertes de tissu de verre, et de résine, seront solides et légères. Les techniques du bronze lui permettront d’autres formes et recherches, en toutes tailles. Le polyester moulé pourra parfois s’y substituer. 

 

Le mouvement plutôt que le geste, le concret plutôt que le réalisme seront des constantes, avec la gageure des variations sur un thème unique. Le pari sera de condenser dans une même figure l’amorce et la

fin d’un mouvement ... et que l’inachèvement soit un désir sans fin. 

    

 

 

 

 


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